Deuxen plastique. Brochette ah. Doublez la quantitĂ© de tissu. Colle et ciseaux. Comment faire des bateaux en papier origami ? Pour faire un bateau en papier, pliez la feuille en deux de haut en bas. Pliez ensuite en deux d’un cĂŽtĂ© Ă  l’autre pour marquer le centre. Pliez le coin supĂ©rieur droit pour toucher le centre. LesdiffĂ©rentes techniques : Le strip planking Le bois moulĂ© (Cold mold) Le contreplaquĂ© cousu collĂ© Le strip planking Ou lattes-jointives en français. J’utilise ce type de construction pour des kayaks, voiliers, dingye, rameur. Elle permet des coques rondes trĂšs rigides et rĂ©sistantes. Cette technique utilise des lattes de cĂšdres de 14 Ă  20 pieds (soit 3/4’’ x Œ’’, 1 Lesmeilleures offres pour Construire son bateau en bois moulĂ© et contre-plaquĂ© - Pierre Gutelle - 3114515 sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en livraison gratuite! DĂ©couvrezCONSTRUIRE SON BATEAU EN BOIS (9782350583433) - François VIVIER chez Propositionde plusieurs plaques de contreplaquĂ© en bois pour maquette de navire et voilier Ă  construire. Accueil / Maquettes BOIS BATEAUX / ContreplaquĂ© bois. Contenu du panier Contenu du panier. Panier vide. Panier vide. Voir panier. Commander. Proposition de plusieurs plaques de contreplaquĂ© en bois pour maquette de navire et voilier Ă  construire. Il n'y a pas de ContreplaquĂ©MARINE 4mm. 33.70 € – 63.50 €. Deux dimensions disponibles : Soit en demi plaque 250 x 60 cm. Frais de transport : 84€ tous les 7 plaques. Soit par plaque entiĂšre 250 x 122 cm. Pas de livraison, Ă  venir retirer sur place. Contre-plaquĂ© de qualitĂ© “marine” 100 % OkoumĂ©, QualitĂ© des faces (selon EN 635-2): II/II 6lmuko. Plastique, mĂ©tal ou bois, les matĂ©riaux de construction des coques de bateaux sont nombreux et Ă©voluent en permanence pour rĂ©pondre aux besoins des pĂȘcheurs. Tour d’horizon des diffĂ©rentes techniques et propriĂ©tĂ©s. La pĂȘche en bateau est un phĂ©nomĂšne qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Les conditions de navigation, la distance des sites de prospection ou le phĂ©nomĂšne des marĂ©es et les risques d’échouage font que diffĂ©rentes unitĂ©s sont plus adaptĂ©es Ă  cette pratique selon les rĂ©gions. Ainsi, les coques de bateaux ouvertes ou les semi-rigides seront plus adaptĂ©s Ă  la pĂȘche en dĂ©rive dans le courant au milieu des hauts-fonds en Bretagne ou en Normandie, tandis que la recherche du thon au large du Golfe de Gascogne ou en MĂ©diterranĂ©e demandera d’utiliser des unitĂ©s adaptĂ©es Ă  la navigation hauturiĂšre et Ă  mĂȘme de rĂ©sister Ă  un changement rapide des conditions mĂ©tĂ©orologiques. Chez Boston Whaler, la mousse expansive Ă  cellules formĂ©es, injectĂ©e sous pression, apporte rĂ©sistance et insubmersibilitĂ©. Des matĂ©riaux variĂ©s pour la construction Afin de satisfaire aux besoins des utilisateurs, les diffĂ©rents chantiers navals utilisent des matĂ©riaux variĂ©s qui prĂ©sentent chacun des avantages et des inconvĂ©nients en fonction du programme du pĂȘcheur plaisancier. Historiquement, les bateaux Ă©taient construits en bois massif jusqu’à l’avĂšnement des matiĂšres plastiques dans les annĂ©es 60 et l’essor de chantiers comme Jeanneau et BĂ©nĂ©teau. Sous sa forme massive, le bois prĂ©sente une grande flottabilitĂ© mais un poids important et surtout une rĂ©sistance aux chocs limitĂ©e. Le lamellĂ© collĂ© – rĂ©alisĂ© Ă  partir de fines lames de bois croisĂ©es et saturĂ©es de rĂ©sines colles de type polyurĂ©thane ou Ă©poxyde – montre en revanche une rĂ©sistance bien supĂ©rieure, pas de risque de putrĂ©faction grĂące Ă  la saturation en rĂ©sine de tous les pores du bois et un poids infĂ©rieur au bois massif. Il a surtout Ă©tĂ© utilisĂ© pour la construction de voiliers et s’avĂšre peu adaptĂ© pour les bateaux de pĂȘche plaisance. C’est Ă©galement le cas du contreplaquĂ© que l’on retrouve toujours dans la structure du squelette de nombreux bateaux mais qui est peu utilisĂ© pour la construction des coques d’unitĂ©s destinĂ©es Ă  la pĂȘche. Le plastique, c’est fantastique Le matĂ©riau le plus rĂ©pandu est le plastique ou ses dĂ©rivĂ©s sous forme de composite. La construction d’une coque dans ces matĂ©riaux nĂ©cessite l’utilisation d’un moule dans lequel est appliquĂ©e une couche de gelcoat, puis de façon traditionnelle, Ă  la main, des couches successives de fibre de verre et de rĂ©sine, souvent polyester, sont superposĂ©es. Des renforts en bois, de type balsa ou contreplaquĂ© voire de mousse, sont placĂ©s aux endroits oĂč le bateau subit les plus grandes contraintes. Cette technique offre une bonne qualitĂ© de construction, mais souvent un poids important et une rĂ©partition des couches de rĂ©sine pas toujours uniforme. Dans le temps, les bateaux toujours immergĂ©s peuvent montrer des signes d’osmose dus Ă  la porositĂ© du gelcoat et au contact de la rĂ©sine avec l’eau qui, par Ă©quilibre de concentration, finit par se dĂ©liter par hydrolyse et former des bulles d’acide acĂ©tique dans la premiĂšre couche de stratification. GrĂące au gelcoat, la coque infusĂ©e en fibre de verre et rĂ©sine polyester se dĂ©tache facilement du moule aprĂšs sĂ©chage. L’infusion, c’est super bon pour les coques de bateaux Afin de pallier ce problĂšme, de nombreux chantiers ont choisi la technique de l’infusion qui permet, par aspiration sous-vide, de faire circuler de façon uniforme la rĂ©sine Ă  travers les diffĂ©rentes couches de fibre de verre, voire de sandwich avec du balsa ou une structure en nid d’abeille qui a l’avantage de renforcer considĂ©rablement la coque sans gĂ©nĂ©rer d’augmentation significative de poids. Dans ce cas, l’ñme du panneau en nid d’abeille est constituĂ©e d’une structure alvĂ©olaire en polypropylĂšne et de revĂȘtement de surface non tissĂ© en polyester permettant de stratifier ou de coller tout type de matĂ©riaux. En pleine action, la plaque d’ABS thermoformĂ©e, chauffĂ©e Ă  haute tempĂ©rature, va Ă©pouser la forme du moule placĂ© au dessous. Une petite mousse pour la route Pour d’autres constructeurs, la rĂ©sistance de la structure et son insubmersibilitĂ© sont rĂ©alisĂ©es par de la mousse expansive Ă  cellules fermĂ©es, injectĂ©e sous pression entre la coque et le pont lorsqu’ils sont toujours dans leur moule et qui occupe ainsi tout l’espace disponible entre la coque et le fond du cockpit. C’est la technique utilisĂ©e par Boston Whaler et Carolina Skiff. Cette technique de construction apporte une rigiditĂ© Ă©levĂ©e Ă  l’ensemble, notamment une grande rĂ©sistance aux chocs et une flottabilitĂ© permanente mĂȘme lorsque la coque est coupĂ©e en deux. L’informatique et la robotisation permettent d’optimiser le nombre de dĂ©coupes dans une plaque d’aluminium. RotomoulĂ©e ou thermoformĂ©e, lĂ  est la question Les deux autres grandes techniques utilisĂ©es pour la construction de coques de bateaux de type plastique sont le rotomoulage de polyĂ©thylĂšne pratiquĂ© par Rigiflex, Fun Yak et de nombreux constructeurs de kayaks de type sit-on-top, mais Ă©galement par le constructeur de bateaux amĂ©ricains Triumph boats, qui annonçait construire les bateaux les plus rĂ©sistants au monde, et le thermoformage de plaques d’ABS Acrylonitrile ButadiĂšne StyrĂšne, technique utilisĂ©e par le constructeur finlandais Terhi. Ces deux derniĂšres techniques limitent les tailles des bateaux Ă  environ 5 mĂštres. Dans le cas du polyĂ©thylĂšne rotomoulĂ©, cela est dĂ» au risque de dĂ©formation de la structure sous les variations de tempĂ©rature et pour l’ABS ThermoformĂ© Ă  cause de la taille des plaques et du moule. En revanche, ces matĂ©riaux montrent une grande rĂ©sistance aux chocs et un tarif compĂ©titif. Avant l’infusion, le moule est tapissĂ© de fibre de verre, qui sera ensuite gorgĂ© de rĂ©sine. Le mĂ©tal, c’est gĂ©nial Le dernier matĂ©riau utilisĂ© pour la construction des coques de bateaux et qui connaĂźt un nouvel essor le mĂ©tal. Si l’acier est essentiellement utilisĂ© pour la construction de certains voiliers, l’aluminium a le vent en poupe auprĂšs des pĂȘcheurs et on le retrouve sous forme de coques ouvertes, de barques, de timoniers ou de coques pour des semi-rigides. Dans les pays nordiques, comme la Finlande, ce matĂ©riau a une solide rĂ©putation et est la matiĂšre premiĂšre des chantiers Silver, Buster ou Linder. Il a l’avantage d’ĂȘtre solide, lĂ©ger et rĂ©sistant dans la durĂ©e. Les plaques d’aluminium sont soudĂ©es et permettent la rĂ©alisation de double coque comme c’est le cas pour les bateaux Silver qui reçoivent ensuite un pontage en polyester pour une esthĂ©tique optimisĂ©e et une facilitĂ© de nettoyage. UtilisĂ© par de nombreux chantiers artisanaux, l’aluminium permet de construire et d’amĂ©nager des bateaux sur mesure et de rĂ©aliser des modifications car le matĂ©riau est facile Ă  souder et Ă  rĂ©parer. Dans ce cas, la construction de la coque est rĂ©alisĂ©e sur un squelette en aluminium sur lequel des plaques de tĂŽle d’une Ă©paisseur de 5 mm pour la coque et 6 mm pour le tableau arriĂšre sont soudĂ©es, le pont et les moulures Ă©tant rĂ©alisĂ©s en plaque de 4 mm d’épaisseur. Afin d’assurer l’insonorisation et l’insubmersibilitĂ© de la coque chaque compartiment Ă©tanche peut ĂȘtre rempli de mousse polyurĂ©thane bi-composants Ă  cellules fermĂ©es. L’aluminium ne craint pas les chocs et s’avĂšre bien adaptĂ© pour la navigation dans les zones rocheuses. En revanche, ce mĂ©tal est sensible Ă  l’électrolyse et il faudra penser Ă  changer rĂ©guliĂšrement les anodes protectrices pour Ă©viter une usure anticipĂ© du bateau. PVC ou Hypalon, une question de tempĂ©rature Reste le cas des semi-rigides qui, s’ils peuvent disposer d’une coque en composite ou en aluminium sont pourvus de flotteurs fabriquĂ©s en PVC ou en Hypalon nĂ©oprĂšne. Le PVC s’avĂšre moins onĂ©reux mais plus sensible aux variations de tempĂ©rature et prĂ©sente une altĂ©ration avec le temps. Il est donc mal adaptĂ© pour la navigation sous les tropiques. Les flotteurs sont assemblĂ©s, soit avec de la colle polyurĂ©thane dont l’adhĂ©rence peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e par les fortes chaleurs, soit par thermosoudage. L’Hypalon NĂ©oprĂšne, est un caoutchouc synthĂ©tique assemblĂ© par collage Ă  froid dans des conditions tech- niques particuliĂšres et demandant un rĂ©el savoir-faire. Il rĂ©siste trĂšs bien aux agressions extĂ©rieures rayons UV, variations de tempĂ©ratures, vieillissement et est utilisĂ© pour les embarcations de sauvetage homologuĂ©es SOLAS Safety Of Life At Sea, ce qui n’est pas le cas des flotteurs en PVC. Il s’avĂšre plus onĂ©reux que le PVC. la dĂ©coupe du tissu en Hypalon, pour la rĂ©alisation des flotteurs de semi-rigides, se fait Ă  la main, comme le collage Ă  froid. En bas le rebut d’ABS est broyĂ© en fines billes qui serviront Ă  la fabrication de nouvelles plaques. Le recyclage, c’est l’avenir ? Enfin, concernant le recyclage des bateaux de plaisance, l’aluminium, l’acier, l’ABS ou le polyĂ©thylĂšne peuvent avoir une seconde vie, ce qui n’est pas le cas des matĂ©riaux composites fabriquĂ©s par nature avec diffĂ©rents composants et pour lequel la dĂ©construction des bateaux en est encore Ă  ses dĂ©buts. Pourquoi Construire Son Propre Bateau ? Voir cette image dans son contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 21 mars 2010 Contexte construction accompagnĂ©e d'un Cavelier avec Alain En effet, c'est une drĂŽle d'idĂ©e, car nous avons en France une industrie de la plaisance de pointe qui produit pratiquement tous les types et modĂšles de bateau que vous pouvez souhaiter. GrĂące Ă  des prĂ©curseurs comme Les GlĂ©nans, la navigation de plaisance s'est "dĂ©mocratisĂ©e" on peut considĂ©rer que jusqu'Ă  la seconde guerre mondiale, il fallait ĂȘtre fortunĂ© pour s'offrir un yacht et tout ce qui allait avec, y-compris l'Ă©quipage. L'industrialisation des chantiers, allant de pair avec l'arrivĂ©e de nouvelles techniques de fabrication alliages lĂ©gers, bois moulĂ© et contreplaquĂ© et de nouveaux matĂ©riaux polyester et fibre de verre ont fait considĂ©rablement baisser le coĂ»t de production en permettant la production en masse de grandes et petites unitĂ©s. Mais en parallĂšle, nous nous sommes hĂ©las massivement dĂ©tournĂ©s de la pratique d'une "plaisance de proximitĂ©" que l'on appelait le canotage. En effet, jusqu'aux annĂ©es 1970, il y avait en France une multitude de petits constructeurs de canoĂ«s, pĂ©rissoires, yoles et toutes sortes de petits bateaux de pagaie, d'aviron et voiliers, que l'on faisait naviguer le dimanche sur les Ă©tangs, les lacs et les riviĂšres du voisinage. Les congĂ©s payĂ©s, puis l'enrichissement gĂ©nĂ©ral des "trente glorieuses" nous ont petit Ă  petit conduits Ă  dĂ©daigner cette plaisance de proximitĂ© en nous donnant accĂšs Ă  la mer... Contexte construction d'une Prame d'Eastport par LoĂŻc et ses petits-enfants Voir cette image dans son contexte construction accompagnĂ©e d'un Wood Duck 12 avec Maud et GaĂ«l L'ouverture de ce nouveau marchĂ© de masse a ainsi forcĂ© le secteur d'activitĂ© de la construction de bateaux de plaisance Ă  accomplir une mutation spectaculaire sur deux dĂ©cennies. En relisant la presse nautique des annĂ©es 60 et 70 par exemple les revues "Bateaux", "Neptune-Nautisme", "Les Cahiers du Yachting"..., on constate qu'existait encore partout en France une multitude de petits chantiers artisanaux produisant aussi bien des canoĂ«s "canadiens" que de grosses vedettes Ă  moteur en acier, en passant par les voiliers de course-croisiĂšre, en bois "classique" ou plus ou moins "moderne" bois moulĂ© notamment. Dans les annĂ©es 1960, le polyester armĂ© de fibre de verre dĂ©ferle sur les chantiers et engage le processus de concentration industrielle du secteur de la construction de bateaux de plaisance. Contexte construction du Skerry "Brin d'Ile" par Jacques Les chantiers artisanaux disparaissent massivement et avec eux l'essentiel de la production en petite sĂ©rie, et singuliĂšrement l'utilisation du bois. Il nous reste heureusement encore bon nombre de chantiers construisant Ă  l'unitĂ©, mais pratiquement tous vers le haut du marchĂ© les grandes unitĂ©s vu de chez Arwen Marine, une unitĂ© est trĂšs vite "grande"..., les protos de course et les "yachts". Le polyĂ©thylĂšne rotomoulĂ© a complĂ©tĂ© l'Ă©limination du bois pour les toutes petites unitĂ©s. L'Ă©poxy, associĂ©e aux techniques nouvelles de mise en oeuvre du bois, est arrivĂ©e trop tard pour sauver les petits chantiers, contrairement Ă  ce que l'on peut voir aux Etats-Unis, par exemple, oĂč la transition vers le polyester n'a pas fait dĂ©laisser les bateaux en bois aussi catĂ©goriquement qu'en France. Contexte construction du Skerry "Anouket" par Ludo En effet, une aversion difficile Ă  comprendre pour la possession d'un bateau en bois mais c'est trĂšs beau chez les autres a condamnĂ© ce matĂ©riau sur la base de ses crimes passĂ©s * et Ă©clipsĂ© l'Ă©volution radicale de ses techniques de mise en oeuvre en construction navale, avec les contreplaquĂ©s marine de qualitĂ©, le bois moulĂ©, le strip-planking, et surtout l'arrivĂ©e de l'Ă©poxy, permettant entre autres la technique du cousu-collĂ©. * Les crimes que l'on attribue au bois "classique" sont liĂ©s Ă  la charge d'entretien qu'il requiert, trĂšs largement surestimĂ©e du fait d'expĂ©riences anciennes mais douloureuses. Qui ne se souvient de journĂ©es entiĂšres passĂ©es Ă  tenter, sans outillage appropriĂ© ni connaissances requises, de calfater, dĂ©caper, poncer, puis peindre et vernir une coque hors d'age qui faisait eau de toutes parts et engloutit finalement tout ce travail et tous ces rĂȘves... Contexte construction du PassageMaker "PĂ©lican" par AndrĂ© Voici au moins Quatre Raisons ! Pourquoi donc ne pas choisir un de ces bateaux moulĂ© Ă  la chaĂźne et disponible en toutes les tailles, formes et modĂšles, et de plus Ă  des prix raisonnables du fait de l'industrialisation et plus rĂ©cemment de la dĂ©localisation de la production vers des pays Ă  bas coĂ»t de main d'oeuvre... Voir l'image ci-contre dans son contexte construction d'un Skerry par Lionel La premiĂšre raison est souvent Ă©conomique on pense qu'en construisant soi-mĂȘme, on Ă©conomisera le coĂ»t de la main d'oeuvre. C'est tout Ă  fait exact, Ă  deux bĂ©mols prĂšs d'une part on ne paiera pas la main d'oeuvre d'un tiers, mais on fournira le travail soi-mĂȘme, on substituera donc un paiement en nature au paiement en espĂšces et ça peut faire plus mal ! Et d'autre part, la construction d'un bateau nĂ©cessite un travail qualifiĂ©, voire trĂšs qualifiĂ©, en fonction de la technique mise en oeuvre sera-t-on capable de fournir un travail au niveau de qualitĂ© requise? La seconde raison est que l'on ne trouve pas le bateau que l'on cherche malgrĂ© l'offre plĂ©thorique, vous ne trouvez pas exactement ce que vous cherchez car les bateaux sont aujourd'hui des produits standardisĂ©s fabriquĂ©s Ă  la chaĂźne on peut encore se faire construire un bateau sur mesure, mais cela a un prix... L'offre de bateaux "voile-aviron", par exemple, est d'une pauvretĂ© navrante chez les chantiers industriels. Il existe en effet trĂšs peu de jolis bateaux trĂšs lĂ©gers, faciles Ă  manutentionner, adaptĂ©s Ă  une pratique "un petit tour et puis s'en va", qui se rangent au fond du jardin entre deux sorties. Contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 9 mai 2010 La troisiĂšme raison est que vous voulez un bateau personnalisĂ© vous savez que le bois "moderne" permet de construire des bateaux solides, durables, lĂ©gers, et surtout beaux et rares... Construire vous-mĂȘme, c'est aussi pouvoir faire du sur-mesure Ă  vos mesures, et pas Ă  celles du bureau d'Ă©tudes de tel ou tel grand chantier. Voir cette image dans son contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 16 mai 2010 Contexte construction d'une Prame d'Eastport par Geff La quatriĂšme raison est que l'idĂ©e de construire votre propre bateau vous enflamme ! C'est ce que je constate chez une majoritĂ© des clients d'Arwen Marine. A entendre certains d'entre eux, construire le bateau sur lequel ils naviguent ensuite a presque changĂ© leur vie ! Cette construction est un projet extraordirairement satisfaisant c'est un dĂ©fi que l'on se lance et dont la rĂ©alisation nous grandit. Et quelle fiertĂ©, plus tard au bord des plages ou des pontons de pouvoir dire "C'est moi qui l'ai fait..." Nos Kits correspondent Ă  Vos Raisons Ils sont Ă©conomiques vous divisez par deux le prix de votre bateau, sauf pour certains bateaux particuliers comme les kayaks ou les annexes , pour lesquels la production en sĂ©rie est imbattable, que ce soit avec le polyĂ©thylĂšne ou le polyester. Mais le bateau obtenu n'est pas comparable... Voir cette image dans son contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 26 avril 2010 Ils sont uniques voyez le PocketShip, un micro-croiseur Ă  grĂ©ement aurique, ou le Skerry, un voile-aviron ultra-lĂ©ger, ou encore la Yole de Chester, superbe yole d'aviron... Vous ne leur trouverez aucun Ă©quivalent dans la production de sĂ©rie. Contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 12 septembre 2010 Contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 30 mai 2010 Ils sont beaux et il n'y en aura pas deux pareils. Rien n'Ă©gale la beautĂ© du bois verni pour un petit bateau, et personne ne construira le sien comme vous seul le vĂŽtre est construit de vos mains ! De toute façon, c'est sĂ»r, le vĂŽtre sera le plus beau ! Voir cette image dans son contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 25 aoĂ»t 2010 Ils sont faciles Ă  construire. Ou plutĂŽt, ils ne sont pas "faciles Ă  construire", mais ils sont sans difficultĂ©s, une nuance de taille. Ils sont conçus pour ĂȘtre construits par toute personne sachant tenir une perceuse, une pince ou encore une ponceuse. DĂ©marrer d'un kit vous facilite la tĂąche vous n’avez pas Ă  vous soucier de trouver vous-mĂȘme tous les Ă©lĂ©ments contreplaquĂ©, bois, rĂ©sine Ă©poxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette gĂ©ante. Le fait que les piĂšces soient dĂ©jĂ  dĂ©coupĂ©es vous Ă©vite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au dĂ©but du projet. Un manuel trĂšs dĂ©taillĂ© vous guide Ă©tape par Ă©tape dans votre projet, et je suis disponible pour rĂ©pondre Ă  vos questions au tĂ©lĂ©phone ou par mail. Encore plus facile la construction accompagnĂ©e. Vous venez construire votre bateau Ă  l'atelier Arwen Marine avec moi. Contexte les "Nouvelles de l'atelier" du 1er mai 2010 Et la RĂ©glementation ? Depuis les changements de 1998 et 2005, les catĂ©gories de navigation ont Ă©tĂ© remplacĂ©es par des catĂ©gories de conception les bateaux sont rĂ©putĂ©s conçus en fonction d'une zone de navigation et de conditions de vent et de vagues. C'est au skipper qu'incombe ou en dĂ©combe ? la responsabilitĂ© de s'informer sur les conditions de navigation et de s'abstenir de sortir quand les conditions risquent d'ĂȘtre trop "musclĂ©es" pour la catĂ©gorie de son bateau. Nos bateaux ne sont concernĂ©s que par les catĂ©gories C et D C eaux cĂŽtiĂšres, jusqu'Ă  force 6 et 2 mĂštres de creux, et D eaux protĂ©gĂ©es, force 4 et 50 centimĂštres de creux. Pour ces catĂ©gories, la rĂšgle est "l'auto-certification" c'est le constructeur amateur ou professionnel qui certifie lui-mĂȘme que le bateau qu'il a construit est conforme aux exigences de flottabilitĂ© et de stabilitĂ© de la rĂ©glementation telles que l'architecte les a prises en compte dans le plan de son bateau. C'est donc Ă  l'architecte qu'incombe la responsabilitĂ© des calculs et/ou tests de conformitĂ© Ă  la rĂ©glementation. Pour les plans amĂ©ricains de la plupart des kits prĂ©sentĂ©s ici, c'est Arwen Marine qui est responsable de leur conformitĂ© Ă  la rĂ©glementation. Dans tous les cas, le bateau doit ĂȘtre construit en respectant les plans et le manuel de construction ce qui est facile avec un kit. Au moment de l'immatriculation, vous devrez simplement fournir une dĂ©claration sur l'honneur attestant que vous avez construit le bateau comme l'architecte l'a dessinĂ©. Aucun organisme externe ne doit venir certifier votre travail, comme c'est le cas pour les catĂ©gories A et B A Hauturier, B Au large. Vous ĂȘtes supposĂ© conserver un dossier de construction pouvant dĂ©montrer la conformitĂ© de votre construction. De plus, c'est une excellente idĂ©e de vĂ©rifier cette conformitĂ© par l'expĂ©rience de chavirer votre bateau et de vous assurer que vous pouvez le redresser sans aide extĂ©rieure, Ă  remonter Ă  bord, Ă  l'Ă©coper et Ă  remettre en route. Cela renforcera Ă©normĂ©ment votre confiance dans votre bateau et dans vos propres capacitĂ©s de confirmer ainsi concrĂštement des capacitĂ©s qui resteraient sinon trĂšs thĂ©oriques. Votre assureur apprĂ©ciera sans doute que vous lui fournissiez un petit document illustrĂ© relatant cette expĂ©rience. Gardez en une copie Ă  toutes fins utilies. Voyez notre page sur la rĂ©glementation de la navigation de plaisance. Reportage France 3 chez Arwen Marine le 21 fĂ©vrier 2011. Haut de page Retour Glossaire Ces articles sont la synthĂšse de plusieurs sujets de nos diffĂ©rents amis....RÉALISATION DES KITS DE VOILIERS EN BOISVOICI QUELQUES RÉPONSES SUR DES QUESTIONS ASSEZ SOUVENT POSÉESIl s’agit de descriptions pour les amis qui n’ont jamais touchĂ©s une maquette bois, il est Ă©vident que ceux qui y ont dĂ©jĂ  construits ont dĂ©jĂ  leurs trucs qui bien souvent valent largement les lorsque l’on dĂ©marre dans le modĂ©lisme on doit choisir un kit simple, avec plans, et pas forcĂ©ment avec un mode d’emploi qui n’est pas toujours de bonne qualitĂ©. En effet bien souvent les modes d'emplois sont rĂ©alisĂ©s par des personnes qui n'ont jamais fait de pour le choix il y a plusieurs sujets qui en que l'on ouvre une boĂźte, on Ă©tudie tout d’abord prĂ©cisĂ©ment l’ensemble des piĂšces et des plans. Cela permet dĂ©valuer la y a en gĂ©nĂ©ral un livret avec les piĂšces repĂ©rĂ©es par des numĂ©ros. On doit alors avoir soin en dehors des piĂšces mĂ©talliques de repĂ©rer avec un numĂ©ro figurant sur le plan toutes les piĂšces bois, quille couples et autres piĂšces !OUTILS UTILES Les couteaux Lame Ă  rasoir ou couteaux Ă  lames interchangeables Ă  chantourner Ă  main avec lames Ă  denture bois ou Ă  linge, petit Ă©tau et serre-jointPinces plates et Ă  becs plats et de 300 mm en fin et stylo Ă  Ă  main avec ensemble de petits forets ou multiplex de verre et cales Ă  de diverses taille Ă  poils de cure-dents pour toutes choses Ă©taler un peu de colle...Un chantier de montage, un tablier et du cache de qualitĂ©QUILLE ET COQUESi c'est un kit , les brĂ»lures du laser doivent ĂȘtre poncĂ©es car la colle prend trĂšs mal ou pas dessus !A signaler tout d'abord que la seule colle Ă  utiliser est de la colle blanche rapide ou lente dans ce genre courante ou spĂ©ciale humiditĂ© D3 pour pratiquement tous les colle blanche se dĂ©colle avec de l'eau chaude, au vinaigre d'alcool, Ă  l"alcool Ă  brĂ»ler,En dehors d'autres colles lors de petits travaux mais pas pour les Ɠuvres vives et d'abord il faut dĂ©cider du systĂšme de construction c'est Ă  dire du chantier, quille en bas, quille en l’ - Quille en bas Il faut faire un petit chantier avec une plaque de bois plus longue que la maquette, et 2 tasseaux bois de 15 mm et de toute la longueur, ou des tasseaux de 15x15 fixĂ©s entre les couples enserrant la quille sur toute la peut aussi utiliser des Ă©querres inox toute longueur ou des petites Ă©querres entre chaque couples ou tous les deux UNE FOIS QUE LA QUILLE EST BIEN DROITE A VERIFIER !COUPE SUR UN COUPLE On doit respecter les points Ă©voquĂ©s sur le croquis, si par rapport au plan le couple n'est pas assez large on lui rend l’équivalent c'est Ă  dire on l'amĂšne Ă  la mĂȘme largeur que l'autre cotĂ©, sinon on dĂ©grossit le plus large. Pour avoir la forme symĂ©trique on calque et on dĂ©calque !Les trous servent Ă  Ă©quilibrer les pressions entre les cloisons Ă  cause des diffĂ©rences d’ - Quille en l'air Si les couples arrivent au bas de la quille il vaut mieux utiliser le systĂšme prĂ©sentĂ© par Daniel sur ce lien, c'est-Ă -dire Ă  l’envers rĂ©gler la perpendicularitĂ© des couples on peut pratiquer comme cela ou Lorsque vous avez des problĂšmes sur la proue vous pouvez utiliser ce systĂšme dit d'apĂŽtres Ces piĂšces peuvent ĂȘtre en balsa pour permettre un travail plus aisĂ©. Le systĂšme peut ĂȘtre utilisĂ© pour la on peut coller les bordĂ©s et approcher plus facilement de l’avant de la quille oĂč vers l’ les bordĂ©s arrivent au ras de la quille de proue, on peut rĂ©aliser ce genre de petit oĂč MEMBRURESATTENTION BIEN PONCER LES BRÛLURES DES PIÈCES COUPÉES AU LASER avec un papier de verre finles" pros" effilent les couples collĂ©s sur la quille Mais il est plus facile de travailler sur les couples AVANT collage sur la quille- Les moins entraĂźnĂ©s feront une amorce de chanfrein- Les plus Ă©rudits peuvent accentuer le biseautageAttention! au sens des chanfreins pour le montage pour le collageLe maĂźtre- couple ne sera pas biseautĂ©Une fois en place, il restera Ă  peaufiner les angles pour recevoir les virures[/color] LES BORDES Pour des raisons de manipulation pour la rĂ©alisation, de renfort par l'intĂ©rieur, de rattrapage possible en cas d'accident en poussant une virure par l'intĂ©rieur, de confort pour poncer ta coque, etc... C'est juste plus d'abord aucun clou de montage ne sera utilisĂ©, seules les chevilles destinĂ©es Ă  faire vrai sur la coque une fois terminĂ©e pour embellir l'oeuvre pourront ĂȘtre bordĂ©s seront composĂ©s de lattes ou plutĂŽt de planchesappelĂ©evirures qui Ă  cette Ă©poque faisaient dans les 5,00 Ă  6,00 m par 20 Ă  27 cm. Donc on ramĂšne Ă  la bonne brochetage Pour faire simple, brocheter c'est diminuer la largeur des extrĂ©mitĂ©s des viruresPour les vieux grĂ©ements, il est nĂ©cessaire de brocheter. Les volumes d'une carĂšne sont tels que la surface des bordages, au centre, est beaucoup plus importante que sur la proue et la poupe, donc le dĂ©veloppement des surfaces n'est pas identiqueSi l'on veut que les virures recouvrent la carĂšne tout en s'appliquant Ă  plat sur les rebords des couples sans forcer ,ni vriller, on voit tout de suite qu'elles doivent ĂȘtre effilĂ©es Ă  l'arriĂšre poupe et encore davantage Ă  l'avant proueApplicationnous prenons le dĂ©veloppĂ© du MC maĂźtre couple le plus large 240 mm-dĂ©veloppĂ© du dernier couple 150 mm-dĂ©veloppĂ© du premier couple 90 mmPrenons des baguettes de 8 mm de largeAu MC, il faudra 240mm 8mm = 30 lattesAu dernier couple, il faudra 150mm 30 lattes =5mmAu premier couple, il faudra 90 mm 30 lattes = 3 mmLa latte brochetĂ©e fera Ă  la proue 3 mm au MC 8 mm a la poupe 5 mmAutre exempleDĂ©marrage des bordĂ©s, bien sĂ»r ils sont posĂ©s Ă  raison obligatoirement d’un de chaque cotĂ©. Pour poser les bordĂ©s vĂ©rifier que ceux-ci ne font pas de casse sur les couples ! c’est Ă  dire qu’il font un arrondi. Et pour vĂ©rifier les couples passez un bordĂ© tout autour et vĂ©rifier qu'il n'y a pas de casse. Maintenant, on prĂ©pare les y a des solutions et des solutions, mais comme on le dit, c’est comme cela que l'on va pratiquer. on utilise l’alcool Ă  brĂ»ler dans laquelle on les laisse tremper pendant 48 heures,]Il y a le systĂšme de la gouttiĂšre de rĂ©cupĂ©ration avec deux le tube de PVC de diamĂštre 40 mm avec un bouchon collĂ© en bas et un bouchon libre pour fermer..avec de la colle nĂ©oprĂšne Pour rĂ©cupĂ©rer facilement les baguettes prendre une gaze accrochĂ©e avec de la ficelle Ă  rĂŽti dans laquelle on met de prĂ©fĂ©rence un nombre pair de baguettes et pendant 48 y a l’eau bouillante ,mais ce n’est pas la solution mais une solution. On dĂ©marre par le ras du pont oĂč la quille, avec ou sans rĂąblure dans la quille. Il faut monter jusqu’à ce que la baguette refuse la mise en forme, puis on continue par le haut oĂč inversement. Et pour terminer on façonne les donner une courbe Ă  un bordĂ© il y a plusieurs instruments oĂč plus cher Il y a la planche Ă  clous, dĂ©limiter entre des clous le bordĂ© courbĂ© de chaque cotĂ© et on attend qu’il le truc de notre ami Steckmeyer Le systĂšme utilisĂ© consiste Ă  construire un gabarit et d'y enserrer les lattes prĂ©alablement plongĂ©es oĂč l'eau chaude 15 min. Le gabarit est constituĂ© de deux mĂąchoires, un mĂąle et une femelle, la mĂąchoire femelle Ă©tant fixĂ©e sur un socle. Les lattes sont introduites entre les deux mĂąchoires, une lame de scie Ă  mĂ©taux Ă©tant placĂ©e entre la mĂąchoire femelle et la latte de façon Ă  accompagner la courbure de celle-ci lorsque les deux mĂąchoires sont serrĂ©es l'une contre l' position et serrĂ©es Laisser sĂ©cher pendant 24 heures au-dessus d'un radiateur. Le rĂ©sultat final les lattes ayant Ă©tĂ© prĂ©alablement effilĂ©es Les lattes ainsi courbĂ©es peuvent l'ĂȘtre Ă  nouveau dans le sens longitudinal, mais Ă  chaud sĂšche-cheveux oĂč autre source de chaleur sĂšche, surtout ne pas plonger dans l'eau chaude, car elles perdraient leur courbure !il y aussi Penser Ă  biseauter les couplesSi ce n'est qu'il vaut mieux les couper en biseau pour qu'elles puissent ĂȘtre jointives quelque soit la courbe !Pour faciliter l’imbrication des bordĂ©s on biseaute les lattes sur la tranche, elles peuvent ĂȘtre fixĂ©es Ă  l’aide de ce genre de pointe On peut aussi prendre des aiguilles Ă  boule de couturiĂšre que l'on pose Ă  l’aide d’une mini celles-ci oĂč ce type de fixation invisible OĂč cet autre prĂ©sentĂ© par Fred PLA COQUE DE RESTATER POUR EXEMPLE DE LA POSE DES BORDES. DÉJÀ ÉVOQUES DANS KIFALO MAIS LA ON NE PEUT RIEN DIRE DE PLUS !NOTA La colle blanche se dĂ©colle avec de l'eau chaude, au vinaigre d'alcool, Ă  l"alcool Ă  brĂ»ler,On peut faire une rĂąblure entaille dans la quille ce qui permet d’insĂ©rer la premiĂšre latte des dĂ©tails complĂ©mentaires sur la fabrication voir Pour les bordĂ©s, voir aussi dans trucs et astuces, bois, Construction d'un chalutier bois le Kifanlo de A Ă  Z. les principes sont les en cours de pose on ne ponce jamais sinon on obtient des escaliers. !Si par hasard vous avez des interstices entre les bordĂ©s vous pouvez utiliser ce mĂ©lange sciure des baguettes de bordĂ©s avec de la colle blanche sĂ»r on n'ai pas dit qu'il fallait parfois complĂ©ter avec du brou de noix dĂ©layĂ© pour atteindre le vrai coloris. Il faut travailler par approches successives...ATTENTION C’EST UNE FAÇON DE CONSTRUIRE IL Y EN AUTANT QUE DE MODÉLISTES !Maintenant que la coque est terminĂ©e, tartinez abondamment l'intĂ©rieur avec un mĂ©lange de colle blanche et de sciure oĂč talc !Cette solution permet de voir si la coque a des fuites et une fois sĂšche d’éviter les problĂšmes de diffĂ©rence d’ DE POUPE DE CHALOUPEDOUBLE-BORDESNe surtout pas utiliser la nĂ©oprĂšne, mais la colle blanche car on peut mieux faire glisser les lattesSi vous dĂ©sirez donc poser des double-bordĂ©s, c’est donc que vous dĂ©sirez vernir votre maquette, sinon le double-bordĂ© n’est pas utile. Dans ce cas vous devez prĂ©parer une coque aussi lisse qu’une peau de bĂ©bĂ© et utiliser des papiers de verre trĂšs trĂšs fins de carrossiers Ă  l'eau 400 donc si la coque est prĂȘte vous pouvez dĂ©marrer les poser des double-bordĂ©s, on peut utiliser un fer Ă  repasser sur laine. Le plus vieux possible... sans eau !on prĂ©pare la virure en l' enduisant modĂ©rĂ©ment mais uniformĂ©ment de colle diluĂ©e et en la laissant sĂ©cher. Puis on applique la virure et on la glisse au plus prĂšs Ă  l'aide d'un fer Ă  repasser comme les menuisiers posent les rouleaux de chants tout prĂȘts sur les LES KITSLes baguettes de bordage peuvent ĂȘtre posĂ©es en bordage extĂ©rieur en prenant appui sur les hauts des couples voir coupe.Si les couples n’en possĂšdent pas vous pouvez planter dans ceux-ci, des clous tĂȘte homme et appuyer les baguettes dessus voir le schĂ©ma.Lorsque les bordages de pont seront posĂ©s et seront stables on peut couper les hauts des couples ou enlever les DU PONT on a pour habitude de poser le support du pont en deux parties longitudinales une tribord et une babord, on ajuste chacune des parties par rapport au bord extĂ©rieur selon la courbe et on ajuste le centre, ce peut ĂȘtre approximatif car aprĂšs on va recouvrir avec le plancher sera composĂ© de lattes oĂč plutĂŽt de planches qui Ă  cette Ă©poque faisaient dans les 5,00 Ă  6,00 m par 20 Ă  27 cm. Donc l’échelle de la maquette donne la longueur de planches, disons un maquette au 1/60Ăšmeon divise 6,00 m en cm 600 60 = 10 cm donc les planches feront 10 cm de longueur chacune mais on ne les aligne pas ! on fait comme cela on colle les planches une par une et on va jusqu’au bordage. on peut aussi poser les lattes entiĂšres puis Ă  l’aide d’une lame de cutter affĂ»tĂ©e Ă  la largeur de 5mm imprimer les lattes. Faire des trous pour les clous et noircis au DES BARROTS DE PONTAprĂšs on pose une lisse de pont pĂ©rimĂ©trique sur le plancher de chaque cotĂ©, en baguette de 2x2 ou 3x3 poser des jambettes de pavois en 5x2 ou 5x3 ou en carrĂ© de 2x2 ou en parallĂ©lĂ©pipĂšde 2x3. leur espace est toujours tous les mĂštres toutefois il en faut une de chaque cotĂ© du canon et rĂ©partir les fois les jambettes de pavois terminĂ©es on rĂ©alise la lisse, comme on ne sait pas courber un plat dans le sens du plat on courbe donc des baguettes en gĂ©nĂ©ral au nombre de 3 en baguette de 2x2, on colle la premiĂšre Ă  la cyano sur la courbe du bordage extĂ©rieur et on colle de chaque cotĂ© une baguette de 2x2 Ă  la cyano et on obtient donc une lisse de 6cm de largeLES SABORDSMaintenant tracĂ© des sabords lorsque l'on ne possĂšde pas de un dessin et sa rĂ©alisation par SANGHALES CANONS Ɠuvres vives et les Ɠuvres mortes sont pratiquement terminĂ©es .TRAVAUX SUR LE PONT LES ROOFS LĂ  en gĂ©nĂ©ral il est livrĂ© du contreplaquĂ©, on le dĂ©coupe mais jamais on ne le laisse brut , car c’est moche ! Donc on a toujours soit des lattes de 5x2 c’est Ă  dire des lattes de bordĂ© oĂč 5x0,3 c’est Ă  dire des lattes de double bordĂ© ! Voici quelques exemples personnels LES CAILLEBOTISPour les caillebotis on le voit mal sur le schĂ©ma mais sur le bounty on voit mieux le double effet Les caillebotis sont faits pour ĂȘtre ouverts, il sont donc montĂ©s dans un cadre lui mĂȘme posĂ© dans une feuillure, Ă©videmment Ă  cette Ă©chelle on ne voit pas la deux cadres sont donc l'un contre l' schĂ©ma est approximatif mais Ă  peu prĂšs juste, c'est comme les grilles de TRAVAUXPosition des charniĂšres de gouvernail au-dessusattention au sens de montageSi la maquette est haubanĂ©e, il faut faire des supports de haubans et des haubans Pour les rĂ©gler sur les caps de moutons .REGLAGE DE HAUBANSVoici aprĂšs quelques nƓuds et trucs qu'on utilise VOICI UNE SECONDE TRES INTERESSANTE PAR CCIS /que l'on peut trouver complĂšte ici partiellement ci-aprĂšs VOICI QUELQUES SYSTÈMES DE CORDAGECABILLOTSLa distance entre deux enflĂ©chures est de 12 Ă  13 pouces 1 pouce=27 mmdonc 27 mmx13=351 mm ramenĂ©e Ă  ton Ă©chelle 351par 89= mm donc 4mm fera l'affaireexemple avec Ă©chelle 1/89 ĂšmeLOVER LES CORDAGESnouvelle petite astuce pour vous faciliter le "lovage" assez fastidieux des cordages de ponts ou autres. Sur le net Ă©galement et adoptĂ© car super simple Ă  mettre en Ɠuvre. certains bien sur prĂ©fĂ©reront laisser les cordages bien plus souples sur les ponts et Ă©viter ces espĂšces de galettes. mais en mĂȘme temps on doute qu'Ă  cette Ă©poque tous ces cordages se promenaient sur les pont avec plus de 600 bonhommes dessus. en pleine bataille il ne fallait qu'il se prennent les pinceaux. Donc qu'il Ă©tait nĂ©cessaire de les lover pastilles transparentes. on peut se servir tout simplement de feuilles de classeur rigides oĂč des couvertures. pour faire ces pastilles on utilise un emporte piĂšce sur une planche bois et un marteau tout simplement. de la colle blanche, de l'eau et du fil. j'ai utilisĂ© du des punaises de coince une baguette dans le pot en plastique sous le niveau du liquide. le fil s'imbibera de colle Ă  mesure que le "lovage" s’effectuera. comme cela il n'aura pas le temps de DES MATSune manip en rĂ©el sur le prĂ©cĂ©dent SJ situation rĂ©elle sur les sur l'actuel SOSLes puristes ne feront pas ce montage. mais c'est bien pratique et au 1/90 cela passe bien. besoin de prĂ©cisions, n'hĂ©sitez pas Ă  nous contacterMARCHE-PIEDSHAUBANSFIXATION DES VERGUES de gouvernailVERGUES D'UN PETIT VOILIERSOURCE RESTATERCette "vergue" c'est le pic de voile de flĂšche,il n'est pas reliĂ© au mĂąt par une articulation juste tenupar sa drisse qui passe par une poulie fixĂ©e au mĂąt et descend sur le la corne encornat c'est exactement cela en petit schĂ©ma comment grĂ©er la voile de flĂšche cela peut vous servir pour la suiteLa flĂšche est fixĂ©e sur le pic la voile Ă  corne est bridĂ©e sur la corne, mais pas sur la bĂŽme ces voiles ne coulissent pas sur leur espar. Pour "ramasser" la voile Ă  corne il suffit de descendre celle ci pour lahisser faire l'inverse!! pour la fixation sur le mĂąt les anneaux c'est tout bon, de mĂȘme pour les DES VOILES de voile systĂšme trouvĂ© sur le qui est dans la boĂźte c'est Ă  dire pas grand chose...La machine Ă  coudre Singer...rĂ©alisation des coutures de deux repliage et couture des bords!fini pour la couture, recto!versoune premiĂšre voile avais dĂ©jĂ  Ă©tĂ© faite, et teintĂ©e dans du thĂ©, du coup pour conserver la teinte, on conserve la mĂ©thodeinfusion deux minute a fondprĂ©paration de la suite en attendant!une fois chaud et infusĂ©, mettre les voiles dans le thĂ©, et laisser refroidirun essuie - tout servira pour absorber un max d'excĂ©dant de thĂ©une fois sec!passage des fils!et posĂ©e...temps de boulot environ 2heures hors temps de sĂ©chageCOQUE PEINTEpour boucher les jours entre les bordĂ©sLe mieux serait de faire une pĂąte Ă  bois avec un mĂ©lange de sciure et de colle blanche pour avoir la mĂȘme teinte bois, Ă  partir des mĂȘmes lattes que ta maquetteSinon la pĂąte Ă  bois est correcteOn peut aussi enduire la coque avec du POLYFILA oĂč sintofer qui eux se poncent dĂ©bute au papier de verre fait des raccords au Polyfila oĂč ponce avec un papier de verre plus l'on peint une coque on utilise cela De l’enduit cellulosique avec du talc et Ă©talĂ© au pinceau cela sĂšche trĂšs papier de verre final doit avoisiner le 500 Ă  600 papier de voiture et laissez une coque oĂč les doigts ne doivent rencontrer aucune aspĂ©ritĂ© comme une peau de bĂ©bĂ© !AprĂšs on peut peindre Ă  la peinture glycĂ©ro au pinceau plat. oĂč teinture plus pour finition vernis satinĂ©Exemples de voilesAU FAIT;Le primaire ou base d'adhĂ©rence G4 super est une rĂ©sine polyurĂ©thane mono composant de coloration ambrĂ©e contenant des solvants qui durcit par absorption de l'humiditĂ© de l'airPOUR L'INSTANT C'EST TOUTVOILA CE QUE NOUS ATTENDONS CE NE SONT PAS DES COMPLIMENTS OU DES REMERCIEMENTS MAIS DES COMPLEMENTS DE TRUCS Les articles que je vais publier ici concernent avant tout le modĂ©lisme que je pratique, Ă  savoir le modĂ©lisme naval navigant radio-commandĂ© Ă  partir de plans de modĂ©lisme. Je crois que malgrĂ© tout ils peuvent ĂȘtre utiles Ă  tous qui pourront les adapter Ă  leur construction car les principes gĂ©nĂ©raux restent les mĂȘmes. Il ne s'agit absolument pas de modĂ©lisme dit "d'arsenal" ou la conformitĂ© avec la construction rĂ©elle est primordiale, mais il s'agit d'expliquer comment on peut arriver Ă  un rĂ©sultat correct, et la comprĂ©hension de ces principes devrait permettre aux dĂ©butant de dĂ©jouer les approximations rencontrĂ©es dans les est certain que face Ă  un kit mal conçu et dont les fournitures sont de piĂštre qualitĂ©, un modĂ©liste expĂ©rimentĂ© arrivera malgrĂ© tout Ă  une coque correcte, mais les modĂ©listes expĂ©rimentĂ©s n'achĂštent plus ce genre de sĂ©rie d'explications a donc pour but d'expliquer aux dĂ©butants comment il faut s'y prendre et de leur Ă©viter un dĂ©couragement comprĂ©hensible si ils n'arrivent Ă  rien .-La structure d’une coque est un peu comparable Ă  un squelette constituĂ© d’une Ă©pine dorsale la quille sur laquelle s’ajustent les cĂŽtes les couples recouvertes de peau le bordageLa charpente axiale du bateau est constituĂ©e principalement de l’assemblage de trois Ă©lĂ©ments la quille, l’étrave et l’étambot. Pour la rĂ©aliser, on prĂ©fĂ©rera les tasseaux de bois dur Ă  du multiplis, simplement pour profiter au maximum du sens des fibres du bois pour l’étanchĂ©itĂ©, et de la flexibilitĂ© de la piĂšce ainsi bois dur se trouve en magasin de bricolage Cambara, MĂ©ranti, HĂȘtre... Il conviendra avant tout d’éviter les bois vrillĂ©s en vĂ©rifiant leur rectitude. Evitez donc le pin et le sapin qui ont trop tendance Ă  bouger mĂȘme aprĂšs un long temps de sĂ©chage. Ces tasseaux seront amenĂ©s par rabotage aux dimensions de la section de la quille. La Quille GĂ©nĂ©ralement rectiligne et de section rectangulaire, elle sera dĂ©coupĂ©es aux dimensions de la vue de profil du plan. Son extrĂ©mitĂ© avant cĂŽtĂ© proue coupĂ©e en oblique s’aboutera contre l’étrave, le "bois de bout" sera ainsi protĂ©gĂ© par le brion. L’Étrave DĂ©coupĂ©e dans le mĂȘme tasseau que la quille, elle sera effilĂ©e sur son bord antĂ©rieur afin de fendre les flots. En modĂ©lisme simplifiĂ©, l’étrave est souvent arrondie au niveau de la quille pour figurer ce que l’on nomme le brion. L’assemblage entre la quille et l’étrave doit ĂȘtre consolidĂ© par une piĂšce de bois chantournĂ©e, venant renforcer l’intĂ©rieur de l’angle, et nommĂ©e marsouin L’Étambot Toujours les mĂȘmes tasseaux pour rĂ©aliser l’arriĂšre de la charpente, constituĂ© du massif arriĂšre piĂšces de bois parallĂšles Ă  la quille venant s’abouter contre l’étambot, lui mĂȘme chevillĂ© au talon de la quille, et lui aussi arrondi pour permettre un dĂ©battement libre au safran. Chaque section antĂ©rieur des piĂšces du massif sert d’appui Ă  un couple. Si le bateau est pourvu d’un moteur, un trou doit traverser le massif et l’étambot, pour permettre le passage du tube d’étambot. DiffĂ©rents trucs de construction permettent de faciliter la mise en place de ce en place du tube d’étambotPlutĂŽt que de percer l’étambot Ă  la foreuse aprĂšs l’assemblage avec tous les problĂšmes d’alignement et de longueur de mĂšche que cela suppose, on peut prĂ©voir un coffrage Ă©tambot et massif en deux parties, entre lesquelles se place le tube, noyĂ© dans de l’araldite. Deux joues mises Ă  fleur viennent ensuite refermer l’ensemble. La VoĂ»te La partie de la coque en surplomb au dessus du gouvernail se nomme la voĂ»te, et sauf sur les coques Ă  cul pointu ou arrondi, elle se termine par le tableau. En construction traditionnelle, cet ensemble est trĂšs complexe Ă  implanter, et se fait notament en s’appuyant sur les couples arriĂšre, alors qu’en construction simplifiĂ©e ceux-ci ne sont pas encore mis en place. Par facilitĂ©, on n’utilisera qu’une seule allonge de voĂ»te et un tableau en contre-plaquĂ©. Visuellement, aprĂšs bordage, l’aspect sera malgrĂ© cela conforme Ă  la rĂ©alitĂ©. Assemblage Toutes les diffĂ©rentes sections de tasseau seront collĂ©es entre elles, bien Ă  plat sur le plan Ă©ventuellement protĂ©gĂ©. Les assemblages peuvent ĂȘtre renforcĂ©s par tĂ©tonnage, ou plus simplement par chevillage aprĂšs sĂ©chage, percer les trous des chevilles dans l’axe de la quille Ă  travers l’arrondi du brion, et par dessous la quille dans l’axe de l’étambot ; insĂ©rer en force les chevilles de hĂȘtre lĂ©gĂšrement encollĂ©es. Le marsouin et l’empilement du massif arriĂšre peuvent aussi ĂȘtre chevillĂ©s. Une sĂ©rie de petits tasseaux collĂ©s sur la quille constituent des mortaises pour l’implantation renforcĂ©e des couples. Finition Avant de passer Ă  l’assemblage quille/couples, il reste Ă  creuser la rablure dans la quille, l’étrave et l’étambot. On peut utiliser un cutter, une fraise de dentiste, etc. Cette rablure recevra sur l’étrave et l’étambot les extrĂ©mitĂ©s des bordages, alors que sur la quille c’est le galbord qui viendra s’y encastrer sur toute sa longueur. La profondeur et l’angle de dĂ©gagement seront donc Ă  adapter en consĂ©quence aux diffĂ©rents rablureCreusĂ©e dans la quille, la rablure recevra le premier bordage appelĂ© galbord. Dans l’étrave et l’étambot, les extrĂ©mitĂ©s des bordages pourront ĂȘtre fixĂ©s sur des Bande MolleLe "bois de bout" de la quille, trĂšs poreux, est protĂ©gĂ© par le brion de l’étrave, lui mĂȘme protĂ©gĂ© par la bande molle en feuille de plomb qui court jusqu’au talon de tube de JaumiĂšreDans la voĂ»te, un trou sera percĂ© pour recevoir l’axe du safran. Le pied de cet axe s’appuie sur le sabot de quille. L’arrondi de l’arriĂšre de l’étambot permet la rotation libre du couplesSur la quille la colonne vertĂ©brale que nous venons de construire et qui dĂ©crit le profil de la coque en 2D, nous allons maintenant implanter les couple les cĂŽtes et ainsi voir apparaĂźtre en 3D le volume de la coque. Sur le plan, les couples peuvent ĂȘtre dessinĂ©s sous diffĂ©rentes formes soit simplement figurĂ©s par un trait fin de part et d’autre d’un axe vertical Ă  gauche le plan de forme des couples avant, et Ă  droite le plan de forme des couples arriĂšre, soit dessinĂ©s sĂ©parĂ©ment avec leurs diffĂ©rents Ă©lĂ©ments, soit entiĂšrement, bordĂ© compris ou bordĂ© dĂ©duit, parfois mĂȘme avec des faux barrots de d’aller plus avant dans la construction modĂ©liste simplifiĂ©e, voyons comment est rĂ©ellement fabriquĂ© un couple en construction navale ou en modĂ©lisme d’arsenalCouple traditionnel trĂšs schĂ©matisĂ©1-2 = varangue, 3-4-5-6 = allonges de fond,7-8-9-10 genoux et allonges de sommetLe couple est constituĂ© de diffĂ©rentes parties Ă  cheval sur la quille et y maintenue par la carlingue, la varangue constituĂ©e de deux piĂšces de bois accolĂ©es est prolongĂ©e par les allonges de fond, les genoux et les allonges de sommet, soit 10 piĂšces de bois pour fabriquer un seul couple ! Les genoux correspondent Ă  ce qu’on appelle les bouchains, qui sur certaines coques ne sont pas arrondis mais en angle on parle alors de coques Ă  bouchains vifs. Toutes ces piĂšces de bois sont choisie dans des branches d’arbre qui prĂ©sentent dĂ©ja +/- la courbure souhaitĂ©e, et ainsi le fil du bois n’est jamais sectionnĂ©. La distance sĂ©parant deux couples Ă©tait en principe infĂ©rieure au diamĂštre des boulets tirĂ©s par les canons de l’adversaire !En modĂ©lisme simplifiĂ©, les couples seront dĂ©coupĂ© d’une seule piĂšce en ctp, et leur nombre sera fortement diminuĂ©. En pratique, un modĂšle sera constituĂ© d’une douzaine ou une quinzaine de si les couples sont dessinĂ©s en entier sur le plan, il sera prudent de ne les dĂ©calquer que par moitiĂ© puis de replier selon l’axe le calque obtenu pour tracer l’autre cĂŽtĂ© afin de s’assurer de la parfaite symĂ©trie du couple. En effet, beaucoup de plans sont tirĂ©s sur du papier OCÉ Ă  dĂ©veloppement humide qui ne garanti pas la stabilitĂ© dimentionnelle du papier. Attention Ă©galement si vous dĂ©cidez de photocopier des couples, les photocopieurs ni les scanners ne reproduisent pas 1/1 dans les deux sens ! ...et si vous dĂ©cidez de coller sur le bois la copie obtenue, attention aux colles qui distendent le couples sont maintenant dĂ©coupĂ©s dans un ctp marin d’épaisseur adaptĂ©e, et Ă©vidĂ©s afin de dĂ©gager l’intĂ©rieur du bateau naviguant. Avant le collage en place, il est judicieux de percer quelques trous Ă  hauteur des genoux, trous qui serviront Ă  enfiler les diffĂ©rents cablages Ă©lectriques devant courir Ă  fond de cale. C’est plus propre et c’est plus beau que des fils qui trainent partout ! Pour un bateau de moins de 50 cm utiliser du ctp de 3mm. Du ctp de 5 ou 6mm pour une longueur de bateau jusque 80 cm, et 8 Ă  12 mm au allonges de sommet peuvent reprendre Ă©galement les jambettes de pavois, mais c’est beaucoup mieux si elles s’arrĂštent au niveau du livet de pont. Les jambettes seront ajoutĂ©es aprĂšs poncage de la coque. Les barrots de pont peuvent faire partie du couple, mais il sera beaucoup plus prĂ©cis de remplacer ces faux barrots par une simple lisse d’ouverture en baguette 5x5 durant la construction, et d’ajuster de vrais barrots une fois la coque de la mĂ©thode de construction Ă  adopter quille en l’air ou quille en bas ?Pour le dĂ©butant, on peut affirmer que la meilleure mĂ©thode est quille en l’air, tout Ă©tant bien fixĂ© sur un chantier jusqu’au sĂ©chage complet du dernier des une fois n’est pas coutume, je vais ici dĂ©velopper une mĂ©thode quille en bas. Et en mĂȘme temps, par un ordre de construction inhabituel, aider Ă  rĂ©soudre les problĂšmes apparaisant toujours si les couples bien que symĂ©triques ne sont pas dessinĂ©s de dimension prĂ©cise, ni implantĂ©s juste lĂ  oĂč il faudrait dans des carlingues de quille mĂ©nagĂ©es d’aprĂšs un plan imprĂ©cis. Et malheureusement, c’est souvent le cas.C’est aussi quille en bas que l’acquĂ©reur d’une boĂźte de construction devra travailler neuf fois sur dix, car le fabricant n’a pas prĂ©vu d’allonges Ă  ses couples prĂ©dĂ©coupĂ©s au laserChaque couple, dont le dessin est reproduit sur le bois, est dĂ©coupĂ© Ă  la scie sauteuse ou Ă  chantourner et sa varangue est Ă©chancrĂ©e de maniĂšre Ă  venir se positionner "Ă  cheval" sur la quille Ă  l’emplacement prĂ©vu sur le plan. Attention, cet emboitement doit serrer, mais le couple doit se positionner bien perpendiculaire dans les deux sens ! Chaque couple est donc Ă©quipĂ© de sa lisse d’ouverture qui en garanti temporairement la soliditĂ©. La quille est maintenue Ă  son inclinaison par rapport Ă  la ligne de flottaison sur un ber de montage. La ligne de flottaison est donc parallĂšle Ă  ce ber. Plaçons les couples sur la quille, bien perpendiculaires Ă  la ligne de flottaison et parallĂšles entre eux, mais avant collage vĂ©rifions leur positionnement Sur certains plans, la vue de profil ne montre pas l’épaisseur du couple, mais seulement un trait pointillĂ© qui dĂ©fini son emplacement. L’emplacement de quoi ? de l’axe du couple, de la partie avant ou de la partie arriĂšre de son chant ? Beaucoup d’encre a dĂ©jĂ  coulĂ© Ă  ce propos. Simplement, mettons en place rigoureusement le premier et le dernier couple. Le couple le plus large le maĂźtre bau est Ă©galement positionnĂ© prĂ©cisĂ©ment. Une latte de bordage 3x10 en tilleul sera alors mise en place de chaque cĂŽtĂ© du bateau, au niveau du livet de pont, maintenue par quelques clous ou Ă©pingles dans la rablure de l’étrave et au tableau arriĂšre, et venant s’appuyer au premier couple, au maĂźtre bau et au dernier couple qui seront Ă©querrĂ©s Ă  ce moment lĂ . Equerrer un couple, c’est en poncer le chant de facon Ă  permettre au bordage d’ĂȘtre collĂ© sur toute l’épaisseur du couple et pas seulement sur un angle. L’élasticitĂ© naturelle des fibres de la baguette de bordage va nous donner une courbe harmonieuse de l’avant Ă  l’arriĂšre du bateau et passant contre les trois couples en place. Les couples suivants Ă©tant Ă©querrĂ©s Ă  la volĂ©e seront Ă©ventuellement avancĂ©s ou reculĂ©s sur la quille des quelques millimĂštres nĂ©cessaires Ă  leur parfaite jonction avec le bordĂ©. Cette mĂ©thode n’est pas orthodoxe, c’est vrai ! mais n’est il pas prĂ©fĂ©rable d’obtenir un bateau dont la coque droite et symĂ©trique n’est pas vraiment conforme au plan, plutĂŽt que pas de bateau du tout parce que finalement rien ne tombait juste et qu’on a tout jetĂ© Ă  la poubelle avant d’aller s’inscrire Ă  un club de maquettes plastique ou de latte de 3x10 en tilleul ou mieux une rĂšglette mĂ©tallique donne par sa flexibilitĂ© naturelle une courbe harmonieuse. Les couples intermĂ©diaires peuvent ĂȘtre lĂ©gĂšrement avancĂ©s ou reculĂ©s afin de bien s’appliquer contre cette astuce permet de rĂ©soudre un autre problĂšme ayant lui aussi fait couler beaucoup d’encre, Ă  savoir si le dessin du couple sur le plan dĂ©crit l’avant ou l’arriĂšre du chant du couple en question, avant ou aprĂšs Ă©querrage. En fait, le dessin reprĂ©sente le couple fini, et il suffit de considĂ©rer que le couple s’aligne devant le trait de positionnement pour les couples de l’avant du bateau, et derriĂšre ce trait pour les couples de l’arriĂšre. Ainsi, l’équerrage du couple enlĂšvera toujours de la matiĂšre en trop. Bien sĂ»r, des plans prĂ©cis permettent de travailler prĂ©cis, mais j’ai remarquĂ© que c’est justement les dĂ©butants qui se procurent des plans de dĂ©but jusque lĂ  c’est une bonne idĂ©e mais que ces plans simples sont souvent bien mal dessinĂ©s. Il s’ensuit un dĂ©couragement comprĂ©hensible quand on se rend compte que tout est collĂ©... et que tout est de travers !Tout est en place, les diffĂ©rents emplacements des couples sont marquĂ©es au crayon sur la quille. Maintenant, on va fixer solidement par collage une baguette de section 3x15 au milieu de chaque lisse d’ouverture, prenant appui Ă  l’étrave sur le rebord amĂ©nagĂ© au niveau des prĂ©ceintes, et sur le milieu du tableau arriĂšre. La profondeur de l’échancrure des varangues sera Ă©ventuellement ajustĂ©es pour que la ligne de flottaison de chaque couple soit dans le plan horizontal et que la lisse d’ouverture de chaque couple affleure bien la baguette qui correspond Ă  la tonture donnĂ©e par le plan. AprĂšs contrĂŽle de tous les ajustements dans tous les axes, on peut alors coller les couples sur la la profondeur des Ă©chacrures des couplesSur chaque couple, un trait figure la ligne de flottaison. Tous ces traits doivent ĂȘtre parfaitement alignĂ©s horizontalement. On doit aussi contrĂŽler la concordance des lisses d’ouverture avec la niveau du massif d’étambot, les chants avant des piĂšces du massif seront Ă©ventuellement ajustĂ©es Ă  la position dĂ©finitive des couples censĂ©s s’y appuyer. Entre chaque couple, sur la quille, on collera des sections de tasseaux faisant office de carlingue. N’utilisez que de la colle blanche rĂ©sistant Ă  l’eau D3, et attendez maintenant plusieurs jours avant d’enlever la quille de son Jambettes de pavoisLes jambettes de pavois sont implantĂ©es d’aprĂšs le plan, Ă©ventuellement accolĂ©es Ă  un couple. Entre les jambettes, une entretoise supporte le plat-bordLes Barrots de pontLa bauquiĂšre et la contre bauquiĂšre s’appuient sur une encoche du couple. Elles supportent les barrots de pont ï»żReport des plans du bateau sur les panneaux de contreplaquĂ© marineC'est le lancement nous allons reporter les points du plan du bateau obtenus grĂące au logiciel gratuit Delfship, sur les plaques de contreplaquĂ© marine. Il sera nĂ©cessaire d'assembler deux plaques de contreplaquĂ© marine m de long pour obtenir des bordĂ©s d'une longueur de 6 m. Une fois les points du plan du bateau reportĂ©s, il ne reste plus qu'a les relier en traçant de jolies courbes..La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>La dĂ©coupe des plaque de contreplaquĂ© marineLes courbes sont tracĂ©es sur les panneuax de contreplaquĂ© marine de 6 mm et de 9mm. On va alors simplement poser les deux plaques de CP l’une sur l’autre pour dĂ©couper Ă  la scie sauteuse les deux bordĂ©s d’un coup. Cela est plus rapide est l’on s’assure ainsi d’avoir deux bordĂ©s suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Collage des panneaux dĂ©coupĂ©s en contreplaquĂ© marineNous devons maintenant assembler les deux morceaux qui composent chaque bordĂ©. La technique ancienne consistait Ă  scarfer » les planches. C’est une opĂ©ration assez longue et dĂ©sormais inutile. Avec la fibre de verre et la rĂ©sine Ă©poxy, il est bien plus simple de les coller directement bord a suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Assemblage des panneaux de contreplaquĂ© marine du bateau par coutureVoila maintenant l’opĂ©ration la plus amusante et gratifiante du projet de construction de bateau. La technique de construction cousue collĂ©e consiste Ă  assembler les panneaux entre eux avec des petits serre-cables en matiĂšre plastique. C’est une opĂ©ration rapide et gratifiante puisque, lorsque elle est menĂ©e Ă  bien notre bateau, d’un coup prend forme. Ca a vraiment quelque chose de magique !La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>RĂ©alisation des joints congĂ©s en rĂ©sine Ă©poxyNous devons maintenant assembler les deux morceaux qui composent chaque bordĂ©. La technique ancienne consistait Ă  scarfer » les planches. C’est une opĂ©ration assez longue et dĂ©sormais inutile. Avec la fibre de verre et la rĂ©sine Ă©poxy, il est bien plus simple de les coller directement bord a suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Stratification des renforts fibre de verre Ă©poxy sur le contreplaquĂ© marineLe joint congĂ© Ă©tant sec, on le ponce pour qu’il ne prĂ©sente aucune aspĂ©ritĂ©s qui serai une source de bulles lorsque l’on va stratifier dessus. On prĂ©pare des bandes de tissus de verre coupĂ©es d’une vingtaine de cm de large et aux bonnes longueurs un peut de RĂ©sine Epoxy et on stratifie toutes les jonctions entres les diffĂ©rentes plaques de contreplaquĂ© qui composent notre future suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Pose des panneaux de contreplaque marine 9 mm des ponts avant et arriĂšre du bateauPour fixer facilement les ponts avant et arriĂšre nous prĂ©parons de petits tasseaux en iroko que nous collons avec du mastic Ă©poxy aux bons endroits. Une fois tracĂ©s est dĂ©coupĂ©s dans du contreplaquĂ© marine de 9mm, les panneaux des ponts avant et arriĂšre sont facilement collĂ©s sur les tasseaux prĂ©vus Ă  cet suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>DĂ©coupe et pose des listons du bateau en bois exotique - IrokoLes listons sont dĂ©lignĂ©s dans une vielle planche d’iroko un peut tordue. Notre liston est construit en deux morceaux, un liston placĂ© Ă  l’extĂ©rieur, un autre Ă  l’intĂ©rieur. Comme notre planche est un peu courte, il est nĂ©cessaire de faire un assemblage en deux parties. Chaque liston est percĂ© pour recevoir des vis inox de 4mm de diamĂštre mais du 5mm aurai Ă©tĂ© plus adaptĂ©, comme nous allons le voir...La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Ponçage du contreplaquĂ© du dessous du bateau et des anglesLe bateaux est alors retournĂ© sur les trĂ©teaux, et un premier ponçage peut ĂȘtre effectuĂ©. Ponçage du dessous la jonction entre les deux morceaux composant le fond et surtout des rails », c'est-Ă -dire la jonction extĂ©rieur entre le fond et les bordĂ©s. Il s’agit en fait d’abattre les angles vifs Ă  la ponceuse Ă  suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Renforcement du tableau arriĂšre pour le moteur Ă©lectrique et le gouvernailNotre tableau arriĂšre est destinĂ© Ă  recevoir soit le gouvernail - en fait une simple dame de nage avec un aviron en guise de gouvernail - lorsque nous naviguerons Ă  la voile, soit un petit moteur Ă©lectrique pour la promenade ou la pĂȘche Ă  la traine lorsqu'il n'y a pas de vent. Pour le renforcer, nous choisissons de le doubler en ajoutant une plaque de contreplaquĂ© marine de 9mm par l’extĂ©rieur et une planche en bois exotique - toujours de l'iroko par l’ suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>RĂ©alisation du puit de dĂ©rive pivotante du bateauNous souhaitons Ă©quiper notre bateau d’une voile. Il faut donc prĂ©voir une dĂ©rive. Bien qu’une dĂ©rive sabre » - type Optimist – semble plus facile Ă  rĂ©aliser, nous avons tout de mĂȘme optĂ© pour une dĂ©rive pivotante. Chez nous Ă  Lacanau ocĂ©an, il n’y a pas de port pour accoster et nous sommes obligĂ© de beacher et dans la zone de vague il n’y a pas beaucoup de fond. Sur le Lac de lacanau, la partie la plus tranquille est celle qui n'est pas accessible aux autres bateaux ;- Donc le minimum de tirant d'eau est a rechercher...La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Stratification et glaçage epoxy de l'intĂ©rieur de la coque AprĂšs avoir bien poncĂ© l'intĂ©rieur du bateaux, nous allons l'imprĂ©gner de RĂ©sine Epoxy Il est difficile de faire un glass comme sur une planche de surf. La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Installation des mousses polystyrĂšne pour l'insubmersabilitĂ© et les glaciĂšresPour assurer de l'insubmersibilitĂ© du bateau nous avons choisi de lier l'utile Ă  l'agrĂ©able. La majoritĂ© des reserves de flotabilitĂ© est placĂ© dans deux glaciĂšres de bonne contenance ou l'on pourra conserver les appĂąts ou les poissons d'un cotĂ© et les boissons fraiches de l' suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Stratification des panneaux des coffresLes panneaux des ponts avant et arriĂšre du bateau ainsi que les deux abattants des glaciĂšres sont dĂ©coupĂ©s dans du contreplaquĂ© marine de 9mm. Il sont stratifiĂ©s avec une couche de tissus de verre. La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Pose de l’anneau de remorquage sur l'avant du bateau peche promenadeL’anneau de remorquage est un Ă©lĂ©ment essentiel pour la sĂ©curitĂ© qui est demandĂ© par la rĂ©gulation et le bon sens. Il servira Ă  remorquer le bateau si nĂ©cessaire et Ă  l’accrocher au corps mort avec un mousqueton inox. Il doit donc ĂȘtre solidement fixĂ© sur la coque et doit prĂ©senter une trĂšs bonne rĂ©sistance Ă  l’arrachage. L’anneau et sa tige filletĂ©e en inox mesurent 15 cm de long et 10 mm de suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>Stratification extĂ©rieure de la coque fibre verre – epoxy sur contreplaquĂ© marineLa stratification verre/Ă©poxy de l’extĂ©rieur de la coque apporte plusieurs avantages Meilleure rĂ©sistance Ă  l’impact, Meilleure rigiditĂ© des bordĂ©s et du fond en contreplaquĂ© marine, Protection totale du bois, RĂ©sistance aux UV, Super joli aspect gĂ©nĂ©ral glaçage La suite de l'Ă©tape de construction du bateaux en bois >>

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