Lesparoles et la vidéo de la chanson Plus j'aime, plus je pique de Olivia Ruiz: Je te demande pardon je t'ai fait mal quelle est cette pulsion ? elle me tue. Envoie-nous des paroles Actualités du monde de la musique Les paroles des chansons des artistes émergents Olivia Ruiz. 244. Albums Paroles. Original Vote la chanson: Note des utilisateurs: 0.0/10 - Le nombre total de
Cest nous les meilleurs dans la vente (La stup') Dans ma sacoche, du rouge et bleu (Baw) On tue ça, tue ça, tu sais (Han, han, ah bon) On tue ça, tue ça, tu sais (Ah bon) D'la monnaie, on en
Créezgratuitement votre compte sur Deezer pour écouter Bonne journée par Da Uzi, et accédez à plus de 90 millions de titres. Da Uzi. Bonne journée. Da Uzi | Durée : 02:44 Auteur : DA UZI. Compositeur : Ovaground. Paroles. Oh, oh, oh Du Mexique au toit d'la tour Du Mexique au toit d'la tour (la D, la D, la D) La D, la D, la D Sevran 3 Tours (ouais, ouais) J'ai compté mes
Ouaisles gars ! Aujourd'hui un compilation de mes plus beau buts sur FIFA depuis le dĂ©but de l'annĂ©e jâespĂšre que ça vas vous plaire !Peace!Mon Twitch:http:
Lepire pour lui, câest la perceuse et le tonnerre. Dans ces cas lĂ , la seule chose qui le calme, câest les bras de Maman ChĂ©rie ou les caresses de son grand frĂšre. Et ça, ça me rend trĂšs trĂšs fier ! Parce que ça me montre quâil sait quâil pourra toujours compter sur moi pour le protĂ©ger !
Queça invente des mythes, s'coller c'est la mode Sniffer c'est banal comme inviter l'ennemi en feat Et c'est pas d'ma faute, si tu t'faisais des films Moi, j'suis obligé de rien frÚre c'est le bon Dieu qui décide Quand j'te donne j'suis un bon et quand j'dis non j'suis plus dégun C'est donc ça la vie Manny ? Ouais pour de bon, j'fume le
IxbQb. Bonjour, J'ai eu une merveilleuse relation, qui a durĂ© 14 ans. Avant ça, je n'ai eu, en abordant des femmes, que des Ă©checs cuisants. On m'a envoyer balader vertement, de façon inique. On m'a mĂȘme montĂ© des plans, du genre j'Ă©tais tranquille, je ne demandais rien, on venait me brancher, me faire croire que j'avais ma chance, alors que j'Ă©tais peinard dans mon coin. On jouait avec moi, comme le chat avec la souris. Au bout d'un moment, lassĂ©, on m'Ă©crabouillait humiliation, devant les copines. Ou alors, des plans glauques. Un soir, deux nanas m'ont montĂ© un chantier, pour que j'aille avec elles dans un bar. LĂ -bas, une fois arrivĂ©s, la blonde a commencĂ© Ă dire ouais, mon mec c'est un furieux, quand il va te voir lĂ ... J'ai dit je finis mon verre et je me barre. Commençaient Ă me gonfler, ces deux fatiguĂ©es. Quand je me suis levĂ©, regards Ă©berluĂ©s ben, oĂč tu vas ? J'ai dit que je me barrais une fois mon verre fini, donc je m'en vais. Le lendemain, je croise la blonde dans un autre endroit elle pique du nez, minable. Un soir, une vient, me propose de danser. Je dis, je ne sais pas. Je vais t'apprendre, qu'elle rĂ©pond. Elle se frotte contre moi, une vraie chienne en chaleur. Je vous jure, sa chatte contre mon manche, comme une tarĂ©e. Le lendemain je l'appelle et lĂ , d'un ton pincĂ© oui mais je suis mariĂ©e, tu comprends... Une tarĂ©e, une ravagĂ©e du bulbe. Des plans destroy comme ça, Ă ne plus les compter. VoilĂ , et je vous Ă©pargne les dĂ©tails, mais en gros, c'Ă©tait toujours comme ça de la merde. Bon, 14 ans ont passĂ©, je ne suis plus avec ma petite merveille. Je ne rentre pas dans les dĂ©tails, mais voilĂ , on s'est quittĂ©s. J'Ă©tais si heureux, avec elle ! Mais en fait, dans sa vie, il n'y avait pas vraiment de place pour un homme. Son boulot, ses enfants, ses chiens, chats, balades et loisirs, passaient avant. Et moi, je venais en tout dernier, quand il restait du temps, et il n'en restait guĂšre. Je n'ai pas supportĂ©, je l'ai quittĂ©e. A prĂ©sent, je n'ai plus le style de vie de cette Ă©poque, avant de la rencontrer, oĂč j'avais des copains, je sortais beaucoup. La petite bande a volĂ© en Ă©clats. J'ai changĂ© j'avais un idĂ©al, un but dans la vie, j'ai sans doute mis la barre trop haut, j'ai compris que je ne l'atteindrais jamais. Je me suis... psychologiquement tassĂ©, on va dire. Je n'ai presque plus de vie sociale. Et puis, il y a d'autres choses, mais que je ne peux dire ici. Bref, je n'ose plus y aller. Si demain je devais me remettre dans l'enfer de la drague... je ne me sens plus. La pĂ©riode "punching ball", je ne la revivrai pas. En conclusion je suis persuadĂ©, Ă tort ou Ă raison, qu'avec ma petite taille, mon cĂŽtĂ© atypique et hypersensible, mon physique sans doute quelconque, ma timiditĂ©, mon peu de vie sociale, je ne retrouverai jamais une belle histoire, comme celle que j'ai eu la chance de vivre, mĂȘme si les 5 derniĂšres annĂ©es ont Ă©tĂ© une lutte pour maintenir un couple condamnĂ©. On a jouĂ© les prolongations, pour dire ça vite. Qu'en pensez-vous ? Je trouve que les femmes sont dures, hyper exigeantes. Avec ce systĂšme l'homme propose / la femme dispose, c'est elle, qui, en dernier ressort, dĂ©tient le pouvoir, le feu rouge ou le feu vert. Et elle en use, en abuse. Certes les femmes se font solliciter, et pas toujours par des types trĂšs fins. Mais elles n'ont aucun mal Ă les jeter, enfin moi, j'ai vu jeter, tant et plus. Moi, mais aussi des copains Ă moi, en pagaille. Par contre, comme il en vient des paquets, elles ont toujours la chance d'en avoir un de valable au milieu, alors elles font leur petit marchĂ©, leurs choix... Et puis, il y a celles qui profitent de la situation, te font faire le parcours d'essai, pendant des semaines, se font inviter Ă ceci ou Ă cela, pour te dire Ă la fin "tu ne me plais pas physiquement". Pouvais pas le dire avant ? ? ? J'ai les boules. J'en ai marre. Je ne supporte plus ma solitude, je suis fait pour aimer, j'en ai besoin, chez moi c'est vital. J'avais trouvĂ© une femme bien diffĂ©rente des cagoles que je dĂ©cris, des tarĂ©es. Elle Ă©tait tout le contraire cultivĂ©e, intelligente, fine, ouverte... Mais bon, Ă terme, sa vie Ă©tait si particuliĂšre, il n'y avait pas vraiment de place pour quelqu'un. J'ai souffert, pendant cette sĂ©paration, j'Ă©tais anĂ©anti. D'abord, parce que je l'aimais, plus que tout au monde. Ensuite, parce que je me disais, plus personne ne voudra de moi. Et ça, je le pense encore. En fait, plus le temps passe, plus il guĂ©rit ma blessure d'amour. Mais plus le temps passe, plus mon angoisse de rester seul augmente. Et je me dis, moi, comme je suis, avec mon background social et mon cĂŽtĂ© hors des clous, avec ma petite taille, avec mon Ăąge 57... Je prĂ©cise que les femmes de mon Ăąge ne m'attirent pas du tout, absolument pas. Ma compagne avait 10 ans de moins que moi, elle faisait jeune, elle avait certes changĂ© depuis qu'on s'Ă©tait connus, mais je l'acceptais, je l'adorais, j'Ă©tais prĂȘt Ă tout pour rester avec elle. Mais pas Ă faire le bouche-trou. J'en ai eu marre de toutes les fois oĂč on devait se voir, et au dernier moment, elle ne venait pas. On habitait Ă 5 mn l'un de l'autre, mais plus les annĂ©es passaient, moins on se voyait. Je n'ai pas supportĂ© ça. VoilĂ . Autre chose j'ai un ami qui a 20 ans de moins que moi, il est en pleine sĂ©paration. L'autre jour, il me disait pareil d'aprĂšs lui, il n'a plus aucune chance Ă prĂ©sent, etc. Alors, vous en pensez quoi ? Je sais que pour beaucoup, c'est la confiance en soi qui joue. Mais moi, d'abord on m'en a trop fait, je suis Ă vif. Ensuite, je n'ai jamais brillĂ© par la confiance en moi, puisque depuis toujours, on m'a bien fait sentir, d'une, que j'Ă©tais petit, de deux, que j'Ă©tais trop... diffĂ©rent. En fait, depuis tout gamin, on m'a fait sentir que j'Ă©tais diffĂ©rent, on m'a traitĂ© Ă part, avant mĂȘme que je sois en mesure de comprendre qu'il y avait une diffĂ©rence, encore moins de pouvoir dire quoi, en quoi elle consistait. Bon, Ă force d'ĂȘtre ostracisĂ©, isolĂ©, j'ai dĂ©veloppĂ© un imaginaire fertile, je suis devenu artiste, Ă©crivain, plasticien, musicien, etc. Mais si je pouvais choisir, je serais plus "conforme", et je souffrirais moins, car lĂ ... tant que j'avais ma petite merveille, je m'en foutais, des femmes, de tout ça. Mais maintenant que c'est fini, l'enfer recommence. Et je ne me sens plus, non. Plus du tout. Ni d'y aller, ni de rester seul. C'est sans issue. J'ai envie d'en finir, par moments. A vous, les mecs, au secours. Ah, pitiĂ© pas de donneurs de leçons, et ne jouez pas Ă "je vais te botter le train", ça n'a jamais marchĂ© avec moi, ok ?
plus ça pique plus c est bon parole